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domiann

13 août 2011

NOUVELLE

MONSIEUR ARMAND

Assise à la table de la cuisine, une tasse de thé à sa droite, des petits gâteaux et du chocolat à sa gauche, le journal (le Top 67, rien de bien intellectuel …) grand ouvert devant elle, Isabel rêve … 
 

Au milieu de la feuille de chou, une annonce encadrée au feutre noir une heure avant :
 

« Madame, Mademoiselle, vous avez entre 45 et 59 ans et vous désespérez chaque matin devant votre miroir face à ces capitons disgracieux qui sont les vôtres et dont vous n'arrivez pas à vous débarrasser. Vous avez essayé tous les régimes à la mode (sans jamais aller jusqu'au bout), la mésothérapie, l'acupuncture, la relaxation, etc … mais rien à faire, vous êtes toujours aussi grasse.  N'hésitez plus, venez me voir. Je suis moi même un ancien gros et ai 55 ans. Ma méthode est gratuite et efficace. Tout ce que je vous demande en contrepartie, c'est de vous investir avec sérieux et de m'adresser un courrier motivé (dès que vous serez décidée) où vous voudrez bien m'indiquer vos mensurations (poids, taille, tour de poitrine, de taille, et de hanches) et me parler de votre parcours (en 20 lignes maximum). Je vous contacterai dans les meilleurs délais pour vous fixer un rendez-vous. »
 

D'un mouvement brusque, la femme se lève. Renversant la chaise et poussant le chat du pied, elle va chercher un stylo et du papier. Elle se rassied. L'inspiration  lui vient rapidement :
 

« Monsieur,
je m'appelle Isabel, ai 54 ans, mesure 1m60  et pèse 93 kilos. Mon tour de poitrine, je le connais vu que je me suis offert deux nouveaux soutifs la semaine dernière (105 cm). Pour le haut, je mets du 50 pour être au large, pour le bas du 48 ou du 50. Ca dépend comment les vêtements sont taillés. Je mesurerais bien tout ça en centimètres comme vous dites dans votre annonce mais c'est pas bien pratique avec une règle plate.
Des régimes, j'en ai fait tellement que j'arrive pas à me souvenir lesquels. Mais quand même je me rappelle Herbalife, Krisslaure, Slimfast, Milical, Dukan, Cohen, et Zermati. Le dernier était le plus sympa de tous : on peut manger comme on veut sans culpabiliser. C'est de la balle ! On perd peu mais on s'éclate ! Mais bon,  en gros et en vrai, celui qui a le plus maigri, c'est mon compte en banque.
Voilà, avant de décider si je veux essayer avec vous, je voudrais en savoir un peu plus sur votre méthode. Quand c'est gratuit, c'est louche. J'espère que ça ne cache pas un marché douteux  genre traite des blanches ou prostitution encadrée. 
J'attends maintenant de vos nouvelles. Bien à vous. Isabel Ross »
 

Très contente d'elle, la plantureuse créature se relève, renversant à nouveau sa chaise, bousculant encore ce pauvre chat, et va chercher une enveloppe dans le tiroir fouillis dans le bahut de l'entrée. Elle farfouille alors dans son sac à main qui est lui aussi un sacré foutoir et déniche un timbre qu'elle colle consciencieusement.  
 

L'enveloppe pourtant timbrée et libellée à la bonne adresse (vérifiée au moins dix fois) ne partira que deux semaines après. Et trois semaines de plus s'écouleront avant qu'une réponse n'arrive. Mais croire aux miracles paie à la longue et un soir, en rentrant de son travail, Isabel trouve une enveloppe mauve clair dans sa boîte aux lettres. C'est Lui, elle le sent.  Toute heureuse, elle renifle  l'enveloppe, la palpe, en trouve le grain doux, s'en caresse la joue … et prend l'escalier (au lieu de l'ascenseur) pour rejoindre son appart' au troisième étage et y découvrir son trésor.
 

«  Madame ? Mademoiselle ? (aucune précision à ce sujet dans votre courrier)

j'ai bien reçu votre demande et elle a retenu toute mon attention. Vous me semblez en effet avoir sérieusement besoin d'une bonne prise en main …et pas que pour votre poids : vos manières laissent grandement à désirer, jeune fille.

Vous voudrez bien par conséquent vous présenter à mon domicile samedi après midi à 14h30. Je ne souffrirai aucune excuse, aucun retard. 

Quant à ma méthode, je vous l'expliquerai de vive voix. Mais soyez certaine qu'elle est parfaitement adaptée à votre profil. 

A bientôt mon enfant

Votre coach - Monsieur Armand »
 

Isabel, dépitée, vexée, jette la lettre à la poubelle (mais garde l'enveloppe, au verso de laquelle figure l'adresse du Méchant Monsieur …). Pfffff, n'importe quoi. Pour quoi se prend il celui là ?
 

Et la semaine se termine joyeusement, entre chips, charcuterie, chocolat, fromage et pizzas. Ce qui fait que le samedi matin, sur le coup de midi et après son brunch, lorsque la belle monte sur la balance, elle est tout simplement effondrée. Et quand elle veut fermer la fermeture de son jean, c'est la cata intégrale. 
 

L'enveloppe est vite retrouvée. L'ascenseur se transforme en TGV et Isabel arrive devant chez Monsieur Armand à 14h ...

Un peu anxieuse, elle reprend son souffle, fait trois fois le tour du quartier, humant l'air printanier, écoutant avec ferveur le chant des oiseaux … avant de se décider à sonner.
 

Monsieur Armand vient lui ouvrir. Il est grand, bien proportionné, porte des lunettes, son regard est franc et direct, et il a une poignée de main ferme. Il lui parle mais elle ne l'entend pas … impressionnée. Doucement il la guide vers une petite pièce pompeusement baptisée salle d'attente : elle est arrivée trop tôt et il s'occupe encore de la personne précédente.  Il y a du thé, des dosettes de café, de la saccharine, des tasses … qu'elle se serve. Il y a aussi de quoi lire. 
 

Une bonne demi-heure se passe avant que la personne d'avant ne parte. Elle n'a même pas réussi à la voir mais elle a entendu une petite voix, un peu tremblante selon elle,  dire « au -revoir Monsieur ». 
 

Ca y est, c'est son tour. La porte matelassée qui sépare la salle d'attente du bureau de Monsieur Armand s'ouvre et il s'efface pour la laisser entrer.  Elle se laisse tomber sur le siège en face de lui sans y avoir été invitée. Il la regarde droit dans les yeux mais ne dit rien. Du moins pendant les premières minutes. Puis …
 

eh bien, vous avez souhaité venir perdre du poids chez moi et c'est une excellente idée. Mon principe est simple : nous allons décider d'un poids de forme pour vous et lors de chaque visite, tout ce qui excèdera ce poids sera sanctionné …
 
sanctionné ? Comment ça ?
 

Vous aurez la fessée Mademoiselle. 
 

La … quoi ? Non mais je rêve ! Vous êtes un gros pervers ma parole !
 

Non, Miss. Une jeune femme qui était d'ailleurs beaucoup plus forte que vous est venue un jour me voir et m'a demandé de lui faire perdre du poids. C'était une ancienne voisine, très délurée comme vous, qui n'écoutait pas mes conseils alors quelle me les demandait, qui n'en faisait qu'à sa tête, et qui arrivait systématiquement en retard aux rendez vous. Un jour, j'en ai eu assez de son comportement et je l'ai fessée comme jamais elle ne l'avait été. Elle a certes pleuré … mais est revenue. Ensemble, nous avons trouvé cette méthode et je peux vous dire qu'elle a perdu 37 kilos. 

 
Euh … en combien de temps ?
 
En quelques mois. Depuis, elle s'est mariée, a eu des enfants. Mais elle n'a jamais repris son poids. C'est une très jolie femme. 

Mais c'est quoi votre méthode exactement alors ?
 

Eh bien, on va dire que pour ton âge, et ta taille d'1m60; l'idéal serait que tu arrives à 65 kilos. Combien en fais tu aujourd'hui ?

 
66 … (rires …). Non, 93.
 

Très drôle ...eh bien, le principe est le suivant : 93 moins 66, ça fait 27 kilos de trop.  Ce qui te ferait aujourd'hui une fessée de 27 claques sur chaque fesse. Mais tu viens de me mentir, tu en auras donc 37 … x 2. 
 

Mais je n'ai pas menti, je plaisantais juste !
 

Et en plus tu discutailles : 47 … x 2 !!! Comme tu t'en doutes, ma main ne suffirait pas pour une telle sanction. Nous commencerons donc par le martinet. Et les 20 dernières claques (10 sur chaque fesse) te seront données à la main. Des questions ?
 

Est ce que je peux encore m'en aller ? 
 

Tu le peux, certes, mais aucun retour en arrière possible. Dès lors que tu auras franchis cette porte sans même avoir essayé d'assumer tes décisions, tu ne reviendras plus jamais. Veux tu une heure supplémentaire pour réfléchir, le temps que je m'occupe de celle qui attend ?
 

Il y a encore quelqu'un dans la salle d'attente ?
 

Oui, la voisine dont je t'ai parlé tout à l'heure. Elle a certes maigri mais son mari me demande de la punir quand elle a la dépense un peu lourde. 
 

 
Glups. Et il faut une heure pour ça ? 

 
Bon, tu te décides Isabel ?
 

Isabel a besoin de temps : se déculotter devant un inconnu, même pour une bonne cause, ce n'est pas rien.  Elle retourne donc dans la salle d'attente dont Monsieur Armand oublie de fermer complètement la porte... le bruit des claques sur le fessier de sa compagne d'infortune, ses cris et pleurs, ses supplications, lui serrent le ventre. Mais en même temps, elle sent ses tétons durcir, sa vulve se contracter et s'humidifier. Et elle se caresse ...et jouït … 
 

L'heure est passée. Isabel revient dans le bureau de Monsieur Armand qui cette fois la somme sèchement d'enlever son jean et de baisser sa culotte. Il la penche en avant sur son bureau et le martinet commence sa danse. 
 

Au début, c'est surprenant. Ca cingle, ça mord la peau. Et puis, il y a la voix de Monsieur qui la couvre de honte soudain … il l'a entendue jouïr et la traite de petite cochonne. Isabel serre les dents et s'applique à ne rien dire. Surtout, ne pas faire plaisir à ce vilain bonhomme ! Mais quand la règle plate prend le relais, elle gémit, couine, supplie … pleure … se laisse glisser par terre. Il la relève, l'emmène au coin  et se repaît plusieurs minutes de la vue de ce gros cul cramoisi.
 

Après un finish à la main où Monsieur s'applique à fesser aux mêmes endroits pour laisser un souvenir durable (en cas de tentations au cours de la semaine à venir), il se rassied à son bureau et lui tend un plan alimentaire à suivre au pied de la lettre. Il ira lui rendre visite le lundi pour contrôler ses placards et son frigo … et gare à elle si elle y cache des douceurs ! Enfin, il lui tend un carton pour les deux rendez vous de la semaine suivante.
 

Deux ? Mais pourquoi ?
 

 
Je ne suis pas un proxénète ma fille … et pour l'avoir suggéré, tu auras droit à une fessée  punitive magistrale. Je t'attends mardi. Cette fois, tu ne seras pas seule avec moi. D'autres insolentes partageront ton sort et vous serez fessées les unes devant les autres. Et maintenant, va t'en, je suis en week end !
 

Isabel rentre chez elle, où, très secouée, elle se couche et s'endort immédiatement. Le reste du week end, elle le passe seule, entre son lit et la baignoire, essayant d'atténuer par de l'eau fraîche l'application de crème épaisse, la brûlure qui irradie des ses fesses endolories. Il n'a pas été brutal, loin s'en faut, mais les claques répétées ont laissé une marque profonde … 
 

Malgré tout, elle sait qu'elle retournera voir Monsieur Armand … qui lui a fait énormément d'effet !
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13 août 2011

NOUVELLES

BABETTE

Cela fait quelques mois que Babette travaille chez Monsieur le Curé comme gouvernante, secrétaire et standardiste … Monsieur le Curé a 58 ans, plusieurs paroisses à gérer, et la lourde tâche de ramener sur le droit chemin de trop nombreux mécréants. Il s'occupe aussi, dans toute la région, de l'alphabétisation, tant pour les adultes que pour les enfants. Submergé par ses nombreuses activités, Monsieur le Curé a donc décidé d'embaucher Babette, fille de l'agriculteur chez qui il s'approvisionne en lait, oeufs, charcuterie et fromages. 
 

Babette, divorcée trois fois, dotée d'un fichu caractère (incompatible avec celui de son père, mais pas que lui hélas), a 51 ans. C'est une femme aux rondeurs généreuses, au verbe haut, à la culture déconcertante, mais très avenante et accueillante quand elle est bien lunée.
 

Lorsque Monsieur l'a embauchée, il lui a clairement expliqué qu'il n'attendait pas d'elle qu'elle soit parfaite (qualité, selon lui, totalement inconcevable pour une femme) mais qu'il n'admettrait pas qu'elle manque de respect à es ouailles ni à ses divers partenaires associatifs. Pas de licenciement dans ce cas de figure, mais autant de fessées cul nu qu'il en faudrait pour la remettre dans le droit chemin. Evidemment, Babette n'a pas pu s'empêcher de ricaner et d'objecter qu'à son âge quand même … ce serait complètement débile.
 

Quelques mois donc, huit pour être précis, se sont écoulés depuis l'arrivée de l'insolente, et bien souvent la maison a retenti  du bruit des claques du « saint homme » sur son gros derrière (celui de Babette s'entend), des cris, pleurs et supplications de la gouvernante mais rien de tout ça n'a tellement changé le tempérament de feu de la donzelle.
 

Ce soir, adossée à la cuisinière, elle piaffe d'impatience. C'est mardi et si Monsieur l'curé ne se dépêche pas de descendre pour manger, elle va rater « Desperate housewives ». Il est rentré il y a une heure déjà , lui a amicalement claqué la fesse gauche en lui disant qu'il crevait la dalle, est monté prendre sa douche et lire son courrier dans son bureau. Et tout ça n'était censé durer qu'une demi-heure ! Le gratin de pommes de terre est prêt depuis cinq bonnes minutes, la salade de tomates largement entamée, le pain un peu grignoté … quand un pas lourd se fait enfin entendre, accompagné d'un sifflotement joyeux. Tiens, il est de bon poil ce soir …
 

De fait, il ajoute une assiette, des couverts, un verre et une serviette sur la table et invite sa cuisinière à se joindre à lui. Cette cordialité n'est pas vraiment faite pour rassurer Babette. D'habitude, il convie la secrétaire-standardiste-gouvernante le vendredi soir pour faire le point des activités et écarts de la semaine .. et en général, ça ne se termine pas trop bien. Pourquoi la cuisinière et pourquoi ce mardi soir ? 

Le repas se passe bien toutefois et l'employée, charmée, étonnée aussi par moments, par l'humour et les vannes de son patron, oublie son feuilleton. La vaisselle est vite terminée et elle monte, comme il le lui a aimablement proposé, le rejoindre dans le petit salon pour prendre le dernier café et regarder un bon film avec lui. 
 

Mais, alors qu'elle arrive en haut, elle manque renverser le plateau lorsqu'elle se voit sur l'écran de télé … entrain de préparer la soupe … et quelle soupe !  Horrifiée, elle se rappelle de la séquence de la semaine précédente. Indignée, elle reproche à Monsieur de l'avoir filmée à son insu, arguant que c'est absolument illégal ! 
 

Mais, c'est dégoûtant Monsieur ! Vous n'aviez pas le droit de me filmer sans me prévenir !!!
 

Enfin, Babette, un peu de sérieux, crois tu que ta façon de préparer la soupe soit conforme aux règles de l'hygiène ? Que dirait l'Inspection du travail ? Allez, calme toi, et viens t'asseoir sur ce pouf, que nous puissions profiter ensemble de ce cout métrage original ….
 

Subjuguée par l'autorité du Maître, la fille de cuisine s'assied à ses pieds. Et le film recommence.... 
 

Une table de cuisine, des carottes, des courgettes , des épices … une grande casserole d'eau, un couteau éplucheur, une boîte de vache-qui-rit, un autre couteau, pour couper les légumes celui là … Babette apparaît dans le champ de la caméra, un sourire béat éclairant sa large figure. Tranquillement assise, elle épluche les légumes et chante avec les Beatles. Jusque là, c'est banal. Elle met une carotte et une courgette de côté sur le plan de travail derrière elle et coupe le reste en tronçons qu'elle balance dans la casserole. Certains atterrissent par terre mais elle les ramasse et ils partent rejoindre les autres. Elle allume la plaque et … tandis que la julienne mijote, s'assied, les jambes largement écartées  sur la chaise de Monsieur (!). Lentement, elle introduit la courgette dans sa vulve et lui fait faire un va et vient langoureux puis saccadé … jusqu'à la première jouissance. Fulgurante et bruyante. Elle passe alors le légume sous l'eau, le coupe et l'envoie rejoindre la casserole par la voie des airs. On pourrait penser, à ce stade des opérations, qu'elle va faire un peu de vaisselle, mais … non … pas du tout … cette fois, elle se met à genoux, toujours sur la chaise de Monsieur, et après avoir enduit la carotte d'huile d'olive, se la met dans le derrière. Cette fois, le plaisir est plus long à venir mais il est tout aussi expressif ! La carotte passe sous le jet d'eau. Et Babette la coupe en tout petits morceaux, qu'elle a quand même la délicatesse de mettre à la poubelle cette fois. Le film est terminé. 
 

Les ennuis, eux, ne font que commencer. La servante  est sommée de se lever et contrainte d'écouter un long et très sévère discours sur l'hygiène indispensable en cuisine. Puis elle est sommée d'aller chercher la brosse large, d'enlever son jean, de baisser sa culotte, et de se pencher sur les genoux du Révérend pour y subir une fessée dure. D'abord 50 claques sur chaque fesse. Le martinet et le paddle suivront pour un finish à la main sur le fessier écarlate et bouillant. Le cérémonial prendra une bonne partie de la soirée parce qu'entre deux instruments, il y aura une pause au coin, les mains sur la nuque. Et la petite cochonne finira sa nuit toute seule dans la chambre des punitions, sur le lit au matelas dur, sans oreiller ...
 

Mais la punition ne s'arrêtera pas là. En effet, le Directeur de Conscience, pour marquer le coup (et pas seulement le c.l) a décidé que pendant quatre semaines, le mardi soir (en plus du vendredi habituel), Babette subira le même traitement. De plus, pendant le même mois, elle sera privée complètement de réconfort post-punitif.
 

La coquine recommencera t elle ses expériences culinaires ? 

12 août 2011

Coaching

OBJECTIF n° 1 : perdre 10 kg

La première scéance de coaching sera l'occasion de faire un état des lieux. Cet état des leiux du corps de l'élève devra être le plus humiliant possible pour motiver ladite élève.:

Poids

Tour de taille

Tour de poirine

Test de la couche de graisse

Profondeur de la raie entre les fesses

 

OBJECTIF N°2 Connaître son ressenti par rapport à la fessée et savoir écrire sur ce thème d'une façon évocatrice.

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